Parce qu’il peint les grandes étendues américaine comme personne, l’anonymat urbain, le silence de la ville, la solitude de la chambre d’hotel. Le silence, le creux, l’absence du moment.
Des toiles qui m’ont toujours accompagnées, j’en fais une petite compilation ici.
<br/ >Edward Hopper, du 10 octobre 2012 au 28 janvier 2013 au Grand Palais, la première grande rétrospective à Paris consacrée au peintre américain !