Ce matin, je regarde ce magnifique court de Nicolas Valois. DRESSES to KILL.

Et je me mets à recherche un passage de « recouvre-le de lumière » d’Alain Montcouquiol.

« Les toreros se plaignent souvent pendant l’habillage. Ils disent que « ca serre trop ». La taleguilla, la ceinture, les bretelles, les cordons des machos, rien n’est parfait. Jusqu’à la coleta qu’il faudra fixer à une mèche de cheveux derrière le crâne, tout est prétexte pour exprimer cette sensation de malaise.
-Aïe, Fede! Tu me fais mal! Ne me serre pas comme une brute.
Dans ces moments, les toreros ont le sentiment d’être étouffés par le costume qui leur colle à la peau. Ils se sentent attachés, écrasés. C’est la peur qui les opprime, le refus inconscient de se laisser passivement transformer en torero, habiller, entourer, transporter jusqu’au lieu de rendez-vous. »